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Le "krinomen" est un débat critique qui regroupe les étudiants d'Arts du spectacle (théâtre et danse) de l'Université Bordeaux Montaigne, de la Licence 1 au Master 2. Ce blog constitue un support d'informations sur les spectacles vus pendant l'année, ainsi que le lieu de publication d'une partie des travaux réalisés en TD de critique (critiques de spectacles, entretiens...).

Article pour le krinomen - SuperamaX - Collectif Superamas

 

 

Spectacle présenté le 18 janvier 2014 au Carré des Jalles (Saint-Médard-en-Jalles),

dans le cadre du festival Des souris et des hommes

 

Article rédigé par : Solène Gadré, Cyril Teillier, Joseph Gilmour-Rees, Guillaume Tichit, Daphné Ricquebourg, Méguy Araujo, Allisson Ingold et Mélissa Djafar

(c) Short Actoral

(c) Short Actoral

 


 

 

 

Présentation du collectif Superamas

 

Superamas est un collectif d’artistes franco-autrichien fondé en 1999 et basé dans trois pays différents, la France, la Belgique et l’Autriche. Le nom fait d'une part référence à une association d’amas et de groupes de galaxies, mais aussi à une chaîne de distribution aux États-Unis. Cette double signification rappelle les marques de fabrique de la compagnie qui, dans ses spectacles, aime traiter de façons légère des sujets complexes, et allier la culture pop au scientifique.

 

Le Collectif démarre avec une performance chorégraphique, Building en 1999, soutenu par La Ménagerie de Verre à Paris. Il entame ensuite une série de performances nommées « BIG » à partir de 2002, aidé par plusieurs partenaires européens. Superamas ne se limite pas aux arts de la scène et investit aussi les arts visuels, en réalisant par exemple “Sauve qui peut (Romania)” un remake d’une scène de “Sauve qui peut” de Godard. Grâce à cette pluridisciplinarité, le collectif est reconnu aussi bien comme compagnie de danse que de théâtre.

 

Pour leur public, c’est en mêlant leurs arts et le savoir-faire de chacun qu’ils se démarquent. La diversité de formation des membres du Collectif permet la création de spectacles hybrides avec une esthétique signulière (notamment grâce à un travail conséquent autour des nouvelles technologies). Superamas aime aussi mettre en avant l’importance du travail collectif dans la création de leurs projets, en insistant sur le fait que leurs spectacles ne sont pas “l’expression d’un auteur ou d’un individu”1.

 

Malgré la différence des horizons artistiques desquels les membres sont issus (danse, théâtre, design…), les membres de Superamas se rejoignent sur un point : ils désirent créer un art accessible, sans se laisser influencer par “le monopole du divertissement de Walt Disney” et par “l’esprit de sérieux de la tradition théâtrale”2. SuperamaX c’est donc un mélange inhabituel de codes spectaculaires (effets lumineux, musique, projections, théâtre) et ce avec des moyens multiples : l’usage de nouvelles technologies, de musique, de graphisme...

 

Le collectif souhaite SuperamaX comme s'inscrivant dans une visée humoristique, décalée mais pour autant sérieuse d'un élément fondateur de la société, l'homme - dans son sens le plus viril. La sexualité, élément fondateur de la société, trouve elle aussi sa place dans cette création du XXIème siècle. Ils font le pari avec SuperamaX de démontrer qu'une représentation théâtralisée du divertissement de masse - comme peut l'être la pornographie – peut être propice à la subvertion.

 

Description du spectacle

 

La première de leur spectacle, SuperamaX, a eu lieu au Festival Act'Oral à Marseille, et ils ont ensuite tourné dans plusieurs villes européennes et françaises comme à Saint-Médard-en-Jalles. C’est un spectacle né du collectif Superamas où se mêlent théâtre, vidéo, nouvelles technologies numériques, danse ou encore comédie musicale. Nous suivons l’équipe de SuperamaX, une Start-up menée par cinq hommes, qui tentent de fusionner avec le site “makelovenotporn.com”. Nous découvrons le monde de l’entreprise aux testostérones concentrées, où humour et impertinence sont au rendez-vous. Il s’agit pour le collectif de donner une critique de l’homme contemporain, de notre société et de ses excès potentiels.

 

Afin de créer cette pièce, les membres du collectif Superamas ont demandé aux femmes du collectif d’imaginer ce qu’elles voudraient qu’ils fassent sur scène. De ce fait, nous observons une scénographie abondante : quatre ordinateurs type Mac, deux côté jardin, deux en fond de scène. Légèrement décentré vers cours, une sorte de véranda-verrière avec pour toile de fond un écran, délimitée par une structure métallique qui soutiennent quatre écrans plats. Derrière ce dispositif se cache à la fois les coulisses et la régie plateau. Côté jardin, un endroit “cosy” avec des caisses en bois et des coussins, sur lesquels les protagonistes discuterons et chanterons. Concernant les accessoires, en dehors des nouvelles technologies - ordinateurs, écrans, drône - il y a un mannequin femme avec lequel deux hommes posent dans leur roman-photo. Il y a également une femme en tenue de sport représentée dans trois positions différentes, qui est affichée sous un format type publicitaire à grande échelle. Des guitares seront utilisées lors d’une scène plutôt intimiste, où trois garçons chanteront dénudés après avoir parodié les positions de la femme sexy sportive. Concernant les costumes, un panel est offert : une tenue jeune-jean-casquette, une tenue décontractée - bermuda/polo - et jean/t-shirt ou chemise pour les autres, nous observons des tenues archétypées selon les scènes, comme celle du roman-photo où la tenue d’un aviateur - combinaison kaki/casque de pilote/lunettes - est également présente. Les lumières sont abondantes, entre un mur de projecteurs côté jardin - trois lignes verticales dirigées vers la veranda-verrière - ainsi que des petites sources lumineuses accrochées à cette structure, sur les mêmes barres métalliques qui supportent les écrans. Des noirs réguliers permettent de changer de situation sur scène, ou de projeter des vidéos.

 

Superamas dans le cadre du festival Des souris et des hommes

 

Un point sur les festivals et l’origine du mot :

 

Les festivals sont un phénomène culturel du XXième siècle et surtout de la seconde moitié du XXième siècle. Dans le chapitre « Qu’est-ce qu’un festival ? Une réponse par l’histoire », publié dans l'ouvrage Une histoire des festivals XXe-XXIe siècle3 Pascal Ory pose un problème concernant la définition du mot ‘‘Festival’’ ; d’après lui, il faut commencer par chercher du côté des origines. « Festival » est un terme anglais, il prend son sens actuel à partir du moment où il est adopté hors des frontières de son pays d’origine pour un usage qui dépasse le sens originel. En France : le premier ‘‘Festival ‘’ est organisé en juin 1829 à Lille. Il est nommé ‘‘La grande réunion musicale’’ et est composé d’un bal, et de plusieurs concerts de musique sacrées, profanes, instrumentales et des chants de chorales.

 

Il s’agit de célébrer par un rite, généralement à vocation périodique, un groupe social mobilisant son énergie festive autour d’objet communs, ce qui prend sens seulement quand l’initiative reçoit l’aval du public. Recourir ou non au terme canonique, le festival reste après deux siècles d’aventure, le type achevé du rituel de la religion culturelle.

 

Le festival des souris et des hommes

 

Avant d’être un festival inscrit dans la métropole bordelaise, Des souris et des hommes est un roman de John Steinbeck et de Kévin Hinkle. Le titre original de cette nouvelle est Of mice and men, sorti aux Etats-Unis en 1937 et traduit en français trois ans après.

‘‘Du talent, de l’audace, des créateurs du présent de toutes disciplines et de multiples nationalités.’’

Le Festival Des Souris et des Hommes est créé en 2008. Cette manifestation hivernale dure deux semaines, du 15 janvier au 31 et se situe sur la scène conventionnée Le Carré- Les Colonnes et ses partenaires de la communauté urbaine de bordeaux. La programmation du festival se base sur deux axes : l’accueil d’artistes internationaux et les nouvelles écritures scéniques, réunis pour montrer de nouvelles manières d’écrire l’espace et un rapport au public différent.

 

Le but est de faire de ce festival une référence en la matière, sur les tendances actuelles du spectacle vivant. Participent au festival : 9 nationalités différentes pour une totalité de 16 spectacles cette année. Un véritable concentré artistique porté sur le contemporain, la technologie, les médias, l’usage des outils numériques, afin de proposer des spectacles hybrides et surprenants. Une manifestation pluridisciplinaire ou le mot ‘osé’ est un maitre mot. On peut parler de spectacles transdisciplinaires et immersifs.

 

Déjà 8 ans que le festival est né et au fil des années son succès s’accroit, près de 5000 spectateurs en 2014 et 16 spectacles programmés en 2015 contre 13 l’année passée. A l’origine du festival se trouve Sylvie Violan, directrice du Carré des Jalles. Elle a imaginé le festival dans le but de rassembler des artistes internationaux et un concentré de nouveautés.

 

Le Festival compte désormais depuis cette année cinq nouveaux lieux-partenaires dans la Métropole Bordelaise soit un totale de huit partenaires :

*Le Carré-Les Colonnes, Scène Conventionnée Saint-Médard-en-Jalles et Blanquefort, qui est également maître d’œuvre de la manifestation.

*Le Molière Scène d’Aquitaine et l’Office Artistique de la Région Aquitaine

*Le Cuvier, Centre de développement chorégraphique d’Aquitaine à Artigues

Les nouveaux partenariats 2015 :

*L’Opéra National de Bordeaux

*L’Espace Culturel Treulon et le service culturel de la ville de Bruges

*Le plateau et le service culturel de la ville d’Eysines

*Le CREAC et le service culturel de la ville de Bègles

*La manufacture Atlantique

 

Source : site officiel du Carré- Les colonnes4

http://www.lecarre-lescolonnes.fr/festival/des-souris-et-des-hommes/

 

 


 

Axes de recherche et questionnements :

 

La place des nouvelles technologies dans ce spectacle

 

Le lien entre théâtre et cinéma est aujourd'hui fréquent sur les scènes ; il y a une volonté pour les metteurs en scène de créer la même illusion qu’au cinéma, que le spectateur confonde la réalité et l’imaginaire. Apparues dans les années 70 ces nouvelles technologies permettent de redécouvrir le texte et l’auteur et si projection, ou si écran il y a, permettent un retour à une forme de « magie théâtrale » en dépit de la présence des caméras.

 

Chez Superamas, la technologie est omniprésente, depuis la création du collectif, cette dernière est un élément commun leurs créations. SuperamaX ne déroge pas à la règle. La scénographie en est chargée. Avec ces cinq écrans, ses ordinateurs, ses tablettes et son drone, le spectacle nous fait assister à un défilé d’objets high-tech qui rythment tout le spectacle. Du concert de rap, à l’histoire imagée en passant par un jeu se basant presque exclusivement sur le playback ; la technologie est utilisée dans de différents domaines par différents moyens mais une chose est sûre, il est difficile de ne pas la voir. Elle est également utilisée comme un prétexte par le biais d’une start-up de communication mais est rapidement tournée en dérision avec différents éléments axés sur la pornographie comme des films pornographiques pour aveugles ou des sex-toys pour chien. On peut se demander ce qui, dramaturgiquement, a poussé les membres du collectif à s’axer sur les nouvelles technologies ?

 

Certains éléments sont utilisés de façon anecdotique alors qu’ils demandent de gros moyens financiers. Par exemple, dans la première partie du spectacle, un drone est contrôlé par un des comédiens pour filmer les autres comédiens sur le plateau. Pendant ce qui semble être un concert de rap, un autre comédien arrive avec une tablette tactile et filme le public (tout est retranscrit sur un grand écran présent sur scène). La réponse la plus évidente semble être celle d’un grand soutien subventionnel pouvant permettre aux artistes présents sur le plateau de se faire plaisir en investissant dans du matériel high-tech. Mais peut-être que ces nouvelles technologies changent notre vision du théâtre. Cela est-il créateur de nouvelles sensations chez le spectateur ? Et interrogent-elles les fonctions du théâtre ? Avec ces dernières, on ne crée plus l’illusion, on montre réellement des choses qui, avec les moyens techniques de l’époque, étaient uniquement du domaine de l’imaginaire jusqu’au point où le réel se confond avec le virtuel.

 

Une parodie du capitalisme et une comédie du néo-libéralisme ?

 

Le capitalisme, bien qu'il ne soit pas le sujet principal de la pièce, est un thème assez largement abordé dans ce spectacle. Tout d'abord, nous retrouvons cette notion dans le nom de la compagnie. Superamas étant une chaîne de grande distribution alimentaire aux États-Unis.

 

Plus précisément dans le contexte de SuperamaX, l'histoire raconte comment un groupe de 5 jeunes arrivent à monter leur start-up. Ces 5 jeunes entrepreneurs décident donc de prendre pour modèle une start-up américaine, RED, qu'ils vont copier dans le moindre détail notamment pour le domaine de la communication où ils vont jusqu’à reprendre la publicité de RED à l’identique. Il est important dans le néo-libéralisme de créer une concurrence, et c’est ce qui est critiqué ici. On peut également noter dans le spectacle de nombreuses références à certaines marques rentrant dans le fonctionnement du capitalisme comme HSBC, RED ou encore Hotdoll, sex-toys pour chien. Le capitalisme pousse la population à une surconsommation. Nous pouvons le voir dans ce spectacle avec un passage sur la pub, et sur comment mettre en valeur le produit avec tout le travail autour de la publicité. Dans cette scène, la manière dont le produit est exposé pour plaire au client (utilisation de célébrités, gros décors…) est réfléchie.

 

Le néo-libéralisme est quant à lui traité dès le début du spectacle lorsque les 5 hommes donnent leurs avis sur comment faire fonctionner la boîte, il s’agit ici d’extraire le meilleur de chacun, afin d'en tirer un profit collectif, l'un des codes moraux propre du néo-libéralisme. Nous pouvons malgré tout remarquer, que c’est de cette manière que fonctionne ce collectif; en exploitant les qualités de chacun afin de les mettre sur scène. Dans cette pièce, la critique porterait-elle sur le fait que le seul but c’est la maximisation, la recherche du gain ?

 

Qu'en est-il de la pornographie ? Superamas montre que la pornographie fait également partie d'un système capitaliste en réutilisant la pornographie pour aveugle ou encore une conférence de Cindy Gallop pour dénigrer l’image de la pornographie qui diffère de ce qu’est vraiment le rapport physique. SuperamaX finirait alors par proposer un capitalisme alternatif, « basé sur la production à l'unité et un service client modulaire et adaptable » ?

Mais l’utilisation même de toutes cette technologie sur scène (présence de plusieurs mac book, de nombreux écrans de télévision, représentation de la marque apple), n’est-elle pas aussi une marque de capitalisme ? Comment porter la critique en usant des procédés et des moyens qui sont eux-mêmes critiqués ?


La représentation des hommes

 

Le collectif Superamas confie dans son dossier de presse avoir reçu de nombreuses critiques vis-à-vis du machisme supposé de leurs précédentes créations. Leurs spectacles ont en effet abordés le thème du masculin-féminin et il semble que le public ait été marqué par les critiques envers les femmes. Se défendant de proposer un tel point de vue, Superamas veut avec SuperamaX centrer sa critique sur l'homme. Cette ambition est-elle sensible dans le spectacle ?

 

Superamax suit le quotidien d’une start-up dirigée uniquement par des hommes. La représentation de ces entrepreneurs est largement moquée, notamment en les représentant comme obsédés par leur image et par le profit. Mais le voeux du collectif était aussi de montrer la face fragile de l’homme ; ainsi ces entrepreneurs toujours en train de contrôler leur image se retrouvent à un moment littéralement mis à nu, en train de jouer de la guitare sur une chanson romantique. Le collectif confiait pendant le bord de scène avoir voulu créer un moment de grâce, où les apparences tombaient. L'image que les entrepreneurs ont des femmes participe à construire la critique de cette masculinité : vision fantasmée d'une femme hyper-sexualisée et superficielle. Pour mieux montrer que cette image n'est qu'un fantasme, il n'y a aucune interprète féminine, toute représentation de la femme passe par un support (photo, enregistrement de son, déguisement). Malgré cette absence, la femme est partout dans le spectacle : elle est vue par les entrepreneurs de SuperamaX comme un excellent moyen de vendre, et est donc au cœur de leur stratégie de vente. L'idée que se font ces hommes de la sexualité est aussi largement caricaturée, très pornographique. Ils mettent à l'honneur l'idée que le sexe fait vendre, et ce jusqu'au ridicule, en sponsorisant par exemple des films pornographiques pour aveugles ou des sex-toys pour chien. Le sujet de la pornographie cache une véritable interrogation sur la place de la sexualité dans notre société contemporaine.

 

Cette start-up masculine a beau être largement ridiculisée, elle tente de dépeindre une réalité : celle du monopole masculin dans les médias. (cf. les écrits de Patrick Eveno, in la revue Le temps des médias).

 

Conclusion

 

Un débat autour du spectacle SuperamaX nous donne une quantité de pistes de réflexion possibles. Après une courte présentation du collectif et du spectacle ainsi que le festival lors duquel a eu lieu cette représentation du SuperamaX, nous nous sommes penchés dans cet article sur les thèmes de la nouvelle technologie, des économies capitaliste et alternative, et sur les genres. Nous espérons que la lecture de cet avant-papier fournira une base de connaissances qui vous sera utile lors du krinomen le 29 janvier au cours duquel seront abordés :

 

  • La place donnée aux nouvelles technologies dans ce spectacle

  • l'évocation et le traitement de la pornographie

  • Les thèmes du masculin et du féminin évoqués dans le spectacle

  • Dans un cadre plus large, les enjeux posés par les membres de Superamas par rapport à SuperamaX

 


 

Bibliographie

 

Leur site web : http://www.superamas.com

 

Le dossier de présentation : http://www.lecarre-lescolonnes.fr/wp-content/uploads/2014/05/Creation_SuperamaX_MCA_20152015.pdf `

 

Interview radio avec le collectif :
http://www.radiogrenouille.com/actualites-2/sujets/superamax-vie-et-mort-dune-start-up

 

Liens vidéos :

 

Critique : http://www.journalzibeline.fr/critique/pas-super/

 

Pour aller plus loin...

Place des nouvelles technologies dans le spectacle:

L. Garbagneti et P. Morelli, Thé@tre et nouvelles technologies, Dijon, EUD, « Écritures », 2009.

Béatrice Picon-Vallin, Des écrans sur la scène, CNRS, « L'Age d'homme », Paris,1997.

 

La place des femmes dans les médias :

Revue Le temps des médias, Patrick Eveno dir.
 

1Propos recueilli auprès des comédiens lors d'une rencontre, le 20 janvier au Carré des Jalles.

2Lien : http://www.lemonfort.fr/agenda-programme/youdream.

3 P. Ory, « Qu’est-ce qu’un festival ? Une réponse par l’histoire », in Anaïs Fléchet, Pascale Goetschel, Patricia Hidiroglou, Sophie Jacotot, Caroline Moine, Julie Verlaine dir., Une histoire des festivals XXe-XXIe siècle, Editions de la Sorbonne, Paris, 2013.

4Lien : http://www.lecarre-lescolonnes.fr/

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